Musique

Dominique toute seule

Dominique toute seule

Comment chanter sa propre mélodie à pleine voix quand elle ne s’accorde pas avec celle du monde ?

Dominique toute seule nous emmène aux côtés d’une femme qui se sent devenir transparente. Discrètement accompagnée de son ange gardien, Dominique sillonne les chemins d’une forêt et entre en dialogue avec les éléments. Elle reprend doucement corps au gré des rencontres, des jours, des nuits et des mélodies qui l’entourent.

Sur un large plateau à l’épure délicate, deux comédien.ne.s nous transmettent – par le biais de l’ombre, du chant et avec un humour improbable – la polyphonie du vivant, des petites choses du dehors qui donnent goût à la vie. La vie de solitude et de précarité de Dominique devient, sous l’écriture et la mise en scène de cette jeune compagnie, une magie de résilience et de vitalité.
Le parcours d’un être, de sa disparition à sa réapparition, une flamboyance sensible et extrêmement touchante pour tous les âges.

Beat’ume

Beat’ume

Un voyage au sein de l’urbain par deux jeunes femmes en quête de sens, entre autodérision, militance et vibes Hip-Hop bien trempées..

Dans une forme mêlant Slam, théâtralité, musique Hip-Hop et Rap, Beat’ume nous confronte à deux jeunes femmes qui errent dans les rues de la ville et dénoncent à coups de punchlines, sillonnant les milieux, bousculant les codes. Deux voix très immergées dans le parler urbain : un parler imagé, drôle, “cash”, cynique, qui remue, entrecoupé de fulgurances poétique.

Par la narration de leur errance, notamment en scooter dans la ville, le duo se frotte à plusieurs réalités sociales : le harcèlement de rue, les discriminations de genre, le militantisme, les manifestations et actions féministes, le rapport à la justice, le caractère cosmopolite de Bruxelles, la chaleur des scènes Hip-Hop, les obstacles et travers de la vie d’artiste. Une forme bien ancrée dans les préoccupations, l’énergie et la tchatche d’une jeunesse actuelle.

Peut-on encore mourir d’amour ?

Peut-on encore mourir d’amour ?

Un spectacle qui parle… d’amour.

Sur scène, deux femmes, une baignoire, des fleurs et un synthé. Judith et Ophélie sont amies. Elles chantent régulièrement (de « Coup de soleil » de Richard Cocciante en passant par des chansons contemporaines ou encore des compositions personnelles). Elles convoquent la pop-culture et la culture tout cours pour parler d’amour, de patriarcat, de femmes mortes et de femmes vivantes, de lesbianisme politique et d’amitié.

En Belgique, en 2022, on vit dans une société patriarcale hétéronormée. Comment faire quand on est une femme qui a envie de vivre de histoires d’amour très romantiques et très intenses mais

aussi égalitaires et libérées des normes ?

Chansons pour le musée

Chansons pour le musée

Dans le silence de la nuit, Karine-pas-Sauvé se retrouve seule dans une salle d’exposition, parmi les œuvres d’art. Elle doit les observer, en choisir une dans laquelle elle se reconnaît… et chanter pour cette œuvre ! C’est cet intriguant Psyquelette – ostéophathe de l’âme aussi réputé qu’excentrique – qui lui a prescrit ça, comme médicament, pour guérir de sa peine, suite à l’éclatement de son cocon familial.

ANGLES MORTS

ANGLES MORTS

Pour avancer, il faut bondir sur le ring, se battre, prendre des coups, les encaisser, les esquiver, perdre et gagner. Si donc en tant que meuf, en tant que gouine, en tant que noire ; si donc en tant que gouine noire congo-belge, beaucoup de temps se perd en petites négociations intérieures avec la norme, Joëlle Sambi rit et monte sur scène avec la meute des siennes. Elles rendent coup sur coup, fendent les jougs et tentent de faire maison ou, à défaut, d’entendre raison.
Avec Angles Morts, l’autrice et performeuse interroge la possibilité de communauté en dépit de nos inconciliables oppositions. A coup de krump, de musique électro et de boxe, elle crée un spectacle comme une ritournelle, un mantra, une lutte en continu. Parce que la radicale nuance. Parce que les violences. Parce que la mesure et l’excès sont toujours politiques.

CROLLES

CROLLES

« C’est deux elles qui triiiiiipent sur le beaaaat
Avec des airs de musique et des airs de muses chics
Ça te dynamise CROLLES te dynamite dans les airs
Tu décolles t’envoles
Plaisir corollaire »
Amandine fait plus d’1,80 m, Leïla moins d’1,60 m. Toutes deux sont comédiennes,
chanteuses, ont des crolles* et vivent à Bruxelles.
Leur 30 cm de différence ne les empêche pas de mêler leurs voix et de nous embarquer
dans leur univers à capella. Leur set de compositions personnelles est en français.
Jouant autant avec les mots qu’avec les harmonies, elles nous font vivre un voyage musical aux influences variées : jazz, slam, rap, musique traditionnelle et chanson française.
* En Belgique on dit des crolles pour des boucles de cheveux : elles ont les cheveux crollés  !

ADAMA CISSOKO ET LES DJAKOROS

ADAMA CISSOKO ET LES DJAKOROS

Adama Cissoko est un griot Burkinabé garant des traditions musicales et orales d’Afrique de l’Ouest. Arrivé en France depuis plus de 25 ans, il a tout d’abord importé ses vibrations avec le groupe Dounia avec qui il a sorti un premier album. S’enchaînent des tournées internationales.

Passionné de Reggae, il fonde ensuite le groupe Adama Cissoko et Les Blakoros. Les Blakoros sont les musiciens malicieux apportant chacun une touche pour créer un style très personnel et les performances live sont remarquées. Le groupe arrive second au concours national des jeunes talents de Reggae à Paris.
Artiste insatiable, il monte également le groupe Djama aux couleurs d’Afro Jazz. Le groupe fait la première partie de Salif Keita.

De toutes ces expériences, naît Djakoros, fusion des deux derniers groupes pour de nouvelles compositions. C’est précisément ce métissage qui est la signature de l’artiste aux milles facettes qui se renouvelle sans cesse pour nous emmener dans son univers.

SOUS LE NOIR DU TARMAC

SOUS LE NOIR DU TARMAC

Artiste pluridisciplinaire et engagé.e, le théâtre, l’écriture, le chant, le slam, la musique et la danse sont les paysages de Marie Darah. C’est en questionnant les notions d’équité et d’ouverture d’esprit, qu’ielle trouve un semblant d’équilibre pour réussir à avancer et inventer son chemin, ielle qui se constate au milieu d’un rond point d’intersectionnalité. Les thèmes qu’ielle aborde dans ses textes sont des sujets graves comme le racisme, l’homophobie ou encore le patriarcat. L’objectif ? Comprendre et combattre les oppressions.

BEAT’UME

BEAT’UME

Beat’ume, c’est une traversée de la vie bruxelloise en scooter, par deux jeunes femmes sillonnant les milieux, bousculant les codes, passant du harcèlement vécu à la nuit alcoolisée, des soirées en bandes de filles aux milieux underground, féministes ou hip-hop, selon l’humeur.

C’est à partir de leur vécu, de leur quotidien et de leurs textes Slam que T.A et Zouz proposent une forme spectaculaire slamée. Objet scénique à la frontière du slam, de la musique Hip-Hop et de la théâtralité, c’est le pari pour le duo de slameuses bruxelloises Z&T, de sortir du simple set de slam – succession de textes de trois minutes, pour aller vers une dramaturgie plus complexe, plus aboutie, une performance théâtralisée baigné de musique. La forme du spectacle se construit dans le montage de leurs slams. Des dialogues entre les deux artistes ainsi que des freestyles de rap viennent lier les différents fragments de la forme.

CONTES NUS

CONTES NUS

Moi, à partir de maintenant, c’est d’oblique sans discontinuer !
Je ne veux plus être une armoire, je veux redevenir tronc.

Une fable poétique et musicale en désordre pour habiller le monde et nous protéger de sa réalité. L’énigme de l’infiniment grand et du tout petit que nous sommes, additionné à l’illusion de nos perceptions. Que dire ? Comment parler vrai ? Les Indiens d’Amérique se racontaient des histoires, plus incroyables les unes que les autres, pour expliquer les mystères du monde. Et nous ? Quelles histoires, à la hauteur de la distance, nous faudra-t-il pour nous rassurer, alors que la science et les télescopes s’enfoncent toujours plus loin vers le début des temps ?

Une ouïe inouïe

Une ouïe inouïe

André Borbé vous invite à venir découvrir son univers drôle et tendre, poétique et truculent, dans un « seul en scène » qui fait la part belle à la technologie et qui ne manquera pas de vous surprendre ! Pour cette nouvelle création, le dynamique chanteur belge est une fois de plus en phase avec son temps : il a choisi pour tout instrument des tablettes numériques qu’il manipule avec une remarquable aisance, produisant une palette de sons très recherchée. La voix naturelle, sans micro ni artifice, joue la proximité. L’artiste pianotant, tapotant, glisse les doigts sur ses écrans pour interpréter de courtes chansons à la bonne humeur communicative.

Brûler Danser

Brûler Danser

Brûler-Danser, c’est une remontada singulière. Il n’y a pas d’équipe adverse. L’ennemi, c’est le temps qui imprime inlassablement sa marque. C’est l’histoire d’une reconquête de soi, par le mouvement. Les mots et les sons se frottent. La proposition est organique, pulsée, portée par un duo inédit. C’est un voyage au pays de la nuit et de la poésie performée. C’est une aube, un espoir de respirer autrement.
Avec le personnage de Remontada, Lisette Lombé et Cloé du Trèfle inventent une nouvelle grammaire et sondent le temps post-confinement, le choc post-traumatique et notre besoin de résilience. Coup de foudre artistique, Brûler-Danser est la première création des deux artistes, rencontre de l’évidence entre le slam, la danse, la poésie et la musique électronique.

Dans les bois

Dans les bois

Au son du violoncelle, commence une balade poétique et sensitive dans les bois. Au coin d’un arbre ou d’une feuille, nous y rencontrons cerf, coccinelle, renard et autres habitants. Les dimensions se mélangent, le minuscule devient géant. La pluie et le vent nous emportent, alors nous chantons. Nous plongeons dans la nature et le rêve pour une exploration tout en musique et en douceur.
Les apparitions et disparitions des animaux, le chant d’une feuille morte ou la danse d’un papillon, sont autant de tableaux accessibles et favorables à l’éveil de l’imaginaire du jeune enfant.

Fusion

Fusion

Entre la lucidité tapie dans les mots d’un slam mystérieux, engagé, enragé et la puissance expressive du krump, street danse dont chaque mouvement vient transcender les vers ; la fusion opère ! Sur scène deux énergies incandescentes, deux performeuses, deux corps noirs.
Le krump puissant et émotionnel d’Hendrickx Ntela rejoint le slam envoûtant de Joëlle Sambi pour une performance bouillonnante, poétique, explosive.
Un spectacle qui questionne les violences sociales, migratoires et policières ; une œuvre à l’urgence communicative. Le krump, danse « urbaine » particulièrement expressive, donne une puissance émotionnelle à cette poésie compacte.

Une ouïe inouïe

Une ouïe inouïe

Drôle et tendre à la fois. André Borbé est bien en phase avec son temps et son public puisqu’il a choisi d’être musicalement accompagné de tablettes numériques qu’il manipule avec une remarquable aisance, produisant une très recherchée et étonnante palette de sons. Le set est entièrement acoustique, sans micro, la voix chaude et rugueuse du chanteur jouant la proximité. L’artiste pianote, tapote, glisse les doigts sur ses écrans, s’amusant comme un enfant et créant d’inattendus et « inentendus» arrangements, tout en nuances, pour de courtes chansons poétiques ou humoristiques à la bonne humeur communicative.

YELLI YELLI

YELLI YELLI

Moitié kabyle, moitié tchèque, née en banlieue parisienne, 100 % Maisons-Alfort, 200 % queer, Yelli Yelli raconte son histoire de femme, d’identité plurielle et ses entre-deux. Elle est la France et l’Algérie et ni l’un ni l’autre aussi. Yelli Yelli est l’entre-deux où naissent les voix orphelines des machines à mémoires.
Débordante de mots et d’histoires, Yelli Yelli renoue la collaboration créatrice de son premier album avec Piers Faccini. Retiré·e·s dans son studio dans les Cévennes, le songwriter multi-instrumentiste propose l’enveloppe musicale, à la parole Yelli Yelli. Ainsi naissent les chansons…

La vie en balançoire

La vie en balançoire

Un voyage en montagnes russes dans l’œuvre d’Eugène Savitzkaya. Une visite en musique, créée pour la circonstance, en accord avec la matière textuelle.
Sur scène, Eugène Savitzkaya habite ses propres récits. Dans cet antre, avec lui, trois musiciens électriques ayant créé des chansons inédites improvisées à partir des textes de l’auteur. Véritable objet scénique hybride, La vie en balançoire, avec ses hauts et ses bas, ses pleins et ses déliés, ses ritournelles et ses coups de gueule, ses extases et ses dégoûts, nous porte là où le particulier devient universel, là où la poésie est au cœur même de la vie.

Contes nus

Contes nus

Après Antifreeze solution et Daisy Tambour, le trio Tomassenko entame un troisième volet, Contes nus. Un nouveau spectacle tourné vers le dehors, sous les étoiles, explorant l’énigme de l’infiniment grand, et du tout petit que nous sommes. «C’est en ouvrant le frigo que je vois le riz, dans un pot, dans le frigo de la maison, dans la rue du pays du continent, etc…».
Ces contenus dans des contenants. Le contenant d’un contenu étant le contenu du contenant suivant. Mais quel est donc le dernier contenant? Une fois que le bout du bout est atteint, et que l’univers entier est un contenu qui cherche son contenant? À moins que l’univers soit un contenu auto-contenant?
Que nous reste-t-il à raconter. Quelles histoires, combien nous en faudra-t-il alors que la science, la physique et les télescopes s’enfoncent toujours plus loin vers le début des temps (pour autant qu’un début existe)? Le mystère s’épaissit. Et puis raconter des histoires, s’entendre raconter des histoires, un mal nécessaire pour se rassurer de l’infinitude? Le réel peut-il se passer de la poésie? Ou se raconter des histoires: des bobards pour se voiler la face?

ALICE

ALICE

La compagnie artéfa revisite la bande son de quatre dessins animés issus des Alice Comedies de Walt Disney.

Le souhait dans cette création est d’explorer un cinéma d’animation moins connu de Walt Disney et d’en faire une œuvre globale entre cinéma, musique et décor. La musique est le lien entre les trois arts, elle permet au décor de s’animer au gré́ des tableaux visuels, elle souligne les images des films utilisés.
Alice, personnage principal, évolue dans un monde de toons avec lesquels elle partage des aventures burlesques, entre rêve et réalité́. Grâce à ce procédé́ visuel, qui mêle animation et prise de vues réelle, la fillette, tantôt joueuse de flûte, pêcheuse sur la banquise, exploratrice ou équilibriste dans un cirque, vit des situations que seul le dessin animé autorise.
Installé autour d’un cube flottant de 2,5 mètres de haut par 2,5 mètres de large, le public vivra une immersion complète dans l’univers du film d’animation.

Mundo Mamemo

Mundo Mamemo

C’est l’histoire en chanson, en cartoon et en deux langues (Français-Espagnol) de Lydia partie en voyage sur la planète MAMEMO. S’accompagnant tour à tour au piano, à la guitare, à l’accordéon ou au ukulélé, Lydia donne des couleurs latino à son pétillant récit. Sur scène, elle est accompagnée de trois grands écrans de toile tendue comme des voiles sur lesquels sont projetés les dessins animés.

Les chansons parlent de la peur du noir, des matins pas rigolos quand il faut se lever tôt, d’être «capable tout seul», de conduire une voiture, de manger du chocolat, de vivre pieds nus, de parler à son doudou ou d’aller nager à la piscine avec ses parents…

Les couleurs graphiques et musicales sont chaudes et intenses et mettent à l’honneur les grandes joies et les petites peines des enfants. Celles-ci ne sont pas si éloignées de celles des adultes!
L’enfance est un pays dans lequel nous avons tous voyagé…

Le Grand Feu

Le Grand Feu

Une plongée contemporaine et authentique dans l’œuvre de Brel.
Le rappeur belge Mochélan, le beatmaker Rémon Jr et le metteur en scène Jean-Michel Van den Eeyden se sont lancés le défi de porter à la scène des textes de Jacques Brel en version rap, 40 ans après sa disparition. Plus qu’un hommage et loin du concert de reprise, Le Grand Feu est un rendez-vous avec l’artiste, ses mots, sa pensée.

Après Nés Poumon Noir, créé à Avignon en 2013, le trio artistique (Mochélan, Rémon Jr et JM Van den Eeyden) se retrouvent avec une envie commune: celle de se confronter à Brel et à son univers. Quarante ans après sa mort, son œuvre et ses mots résonnent toujours autant dans leurs vies. Amour, liberté, soif d’aventure, mort, solitude… l’universalité de son écriture est interpellante.
Sur scène, ils portent les textes les moins connus du Grand Jacques pour leur donner un nouveau souffle. Et quand Mochélan chante Brel, une certaine filiation se dessine! Un spectacle à la croisée du théâtre et de la musique, où ils nous racontent leur Brel.

Les dits de nul et de tous

Les dits de nul et de tous

Plongée dans la tradition orale du conte guinéen en compagnie du porteur d’histoires Mohamed Sylla et de la balafoniste Yéli Guinée.

Sur scène, le conteur guinéen Mohamed Sylla accompagné par Yéli Guinée au balafon, créent l’univers de la Saga et se transforment en témoins, pour raconter, faire voyager, découvrir, danser, chanter, rire.
De l’univers de la brousse à la politique coloniale, ces fables illustrent la conscience en mouvement de la civilisation villageoise des populations guinéennes.
Comptines, randonnées, contes d’animaux, contes facétieux ou merveilleux, contes de mensonges ou de sagesse: le conte guinéen, tout un art.

Under the misselstöe (sous le gui)

Under the misselstöe (sous le gui)

Épopée rock inspirée de l’œuvre et du parcours incroyable et tragique d’Aloïse Corbaz.

C’est le portrait imaginaire d’une femme hors du commun, internée à 32 ans, en Suisse, pour « délire pacifiste et antimilitariste » en pleine horreur de la Première Guerre mondiale.
C’est un hommage à une artiste qui mena pendant les quarante-six années de son internement, une quête d’émancipation sans bornes, entre quatre murs.
C’est une fenêtre ouverte sur un royaume étrange et brillant.
C’est une ode à la liberté.

La Famille Handeldron

La Famille Handeldron

Les triplés de la famille Handeldron vous invitent dans un camping improvisé. Ces trois baroudeurs vont vous raconter l’incroyable histoire du loup végétarien, les aventures du monstre rikiki ou encore la grande évasion du Doudou! Un road-trip musical pour petites oreilles bien aiguisées.

Le concert de la Famille Handeldron est une invitation à revivre sur scène un périple, un voyage initiatique dans lequel le trio se retrouve confronté à plusieurs épreuves, à vivre de nouvelles expériences, à sortir d’un terrain connu qui leur permettent de se dépasser à travers leurs aventures.

Sibongile Mbambo

Sibongile Mbambo

L’Afrique du Sud en un claquement de voix.

Artiste plurielle, native de Cape Town, Bongi livre avec émotion des compositions écrites dans sa langue natale, le xhosa.
Elle offre sa voix à des métissages raffinés, mêlant son timbre chaud aux guitares, percussions, flûtes et chants diphoniques pour un mariage subtil et enchanteur.
La sensualité du chant et l’éclat du tempo.

Strach – a fear song

Strach – a fear song

Un opéra circassien sous un chapiteau de toile. Dans l’arène, trois acrobates, une chanteuse lyrique et un pianiste pour un rendez-vous intime avec nos peurs. Du cirque onirique et sensible, une magnifique proposition de défier les airs et les repères, d’affronter le monde autrement.

Tout commence avec une voix, dans le noir.
Une berceuse qui nous aide à supporter les ténèbres.
Puis vient une autre voix, parlée cette fois.
La voix d’une enfant qui rêve de devenir un cow-boy. Un cow-boy rouge.
Et enfin apparaîtront les corps, une autre manière d’aborder nos peurs.
C’est là tout l’enjeu de ce spectacle : trois acrobates, une chanteuse lyrique et un pianiste qui – ensemble – décident de “porter la voix”.
Se faire entendre et dépasser ses peurs.
Puis partager cette audace nécessaire avec les spectateurs – ces fantômes de l’ombre…
C’est un voyage au bout de la nuit qui se termine en pleine lumière, une fenêtre grande ouverte sur le monde.

SilverRat Band

SilverRat Band

La musique parfaite pour une ouverture de saison : énergique et inventive.

SilverRat Band propose des créations atypiques par son orchestration : 3 souffleurs, voix, batterie… Le délicat portrait d’un jazz de qualité, de rap et de hip-hop.
Une rencontre qui donne naissance à une musique dynamique et inventive, un flow groovy et rafraîchissant. L’épaisseur humaine de ce groupe mixte, mélange de générations, nous transporte dans un univers plein de complicité, d’humour et de rigueur. Un travail d’équipe, une réelle présence sur scène et de l’énergie à revendre, un cocktail parfaitement maîtrisé par ces artistes. Des compositions aussi bien en anglais qu’en français, originales et percutantes.

Francophonika

Francophonika

Francophonika est un projet mêlant arts numériques et cultures urbaines.

Le public se fait le créateur d’une matière sonore, textuelle et visuelle en participant à plusieurs modules d’animations numériques. Cette matière est ensuite réunie pour composer dans la foulée un spectacle virtuel. Le public assiste au résultat final: Francophonika, un spectacle sous forme de battle-performance unique en son genre où 1 Vdjayer et 1 beatmaker vont utiliser la matière produite par le public pour défier les artistes sur scène. Qui du public ou des pro aura le dernier mot? Au-delà d’une performance musicale et vidéo, l’objectif est bien de créer une résonance entre les différents citoyens de différents territoires francophones (Belgique, France, Afrique, Suisse, Québec, etc…) mais aussi de contribuer à la mixité sociale des territoires, en mettant en musique et en image des textes, des paroles, des accents, des expressions locales, sur un sujet commun: la richesse de la langue francophone grâce à la diversité culturelle et sociale des citoyens qui la compose.

Et si Brel était une femme…

Et si Brel était une femme…

Vingt chansons dans de nouvelles interprétations où Iris Munos ne cherche pas à reproduire, mais tente de s’approprier la voix intérieure de Brel afin de la rendre féminine, différente. Un concert qui donne une vision plus riche et large de ce qui était et est toujours l’un des plus grands chanteurs du XXème siècle. Et finalement, Brel était-il misogyne? N’avait-il pas quelque chose de féminin en lui? Peut-être même était-il une femme dans le corps d’un homme? Le spectacle n’apporte aucune réponse, mais permet de se demander comment serait le monde de la chanson si Brel était une femme?

Congo Eza

Congo Eza

Trois voix fortes, singulières, deux poétesses et un rappeur se rejoignent pour questionner leur rapport particulier au Congo, à la Belgique, à cet entre-deux réceptacle de leurs identités, leurs imaginaires multiples.

Congo Eza c’est aussi «comment être un enfant du Congo dans le pays de Tintin». Joëlle Sambi, écrivaine et activiste a grandi entre Kinshasa et Bruxelles, Lisette Lombé, slameuse de mère belge et de père congolais a grandi à Namur et vit à Liège, Badi est un rappeur bruxellois, lauréat 2017 du prix Paroles Urbaines. Ils offrent une vision sensible, cocasse et sans concession, qui questionne l’appartenance, lève le voile sur l’intime et le politique.

Pilleta Remix

Pilleta Remix

Pilletta ReMix est une fiction radiophonique live.
C’est un conte initiatique qui voit son héroïne braver tous les dangers d’un monde qui lui est inconnu, le monde des adultes, pour sauver sa grand-mère malade.
C’est une histoire à écouter et à voir, pour découvrir les coulisses d’une création radiophonique ; une fable noire et pourtant drôle qui se joue des peurs d’enfants et du monde des grands.
C’est une performance d’acteurs, bruiteurs, électro-musiciens, mixeurs qui donnent vie à 13 personnages sous les aléas du direct.

Daisy tambour

Daisy tambour

Olivier Thomas, raconteur d’histoires en biais, déglingueur de mots, recycleur de notes et ses deux complices investissent la scène pour un moment poétique, chanté, parlé, joué. Une perfusion de pur bonheur à mettre à portée de tous les publics. Risques de plaisir communicatif.

L’amour, c’est… c’est… c’est compliqué.
Daisy Tambour. Ça sonne comme un désir. Et comme un battement de cœur.
Vous voyez ? Vous sentez ? Cette chose qu’on ne peut nommer et qui pourtant jaillit du-corps-de-la-pensée-de-la-voix-des-envies-des-rêves-des-angoisses-du-vide de tous les jours.
Comment vivre ? À fond ? À moitié ? Sur le plan comptable, à moitié c’est plus rentable. Mais quand l’amour s’en mêle (s’emmêle ?)…
Après Antifreeze solution (accueilli en 2013), Olivier Thomas, recycleur de petits riens et de lectures en biais, déploie sa petite musique singulière à portée universelle, détricote le sens et le non-sens avec la même gourmandise, entre fête champêtre et infinie poésie. Et la poésie, sur le plateau comme dans la vie, c’est un peu le sourire des minutes qui passent.
Un orchestre de poche pour musique de chambre pas bien rangée…

Quand je regarde une fraise, je pense à une langue

Quand je regarde une fraise, je pense à une langue

Une danse engagée dans l’ici et maintenant. Belle “brochette” d’artistes en résidence aux Doms pour la création d’un spectacle sur leur passé individuel et un futur partagé. Leur source d’inspiration: le roman de Goliarda Sapienza L’art de la joie qui questionne notamment l’engagement social et politique, la croissance personnelle, le rôle parental, le désir sexuel et le vieillissement.

À la façon de Sapienza qui saute de pensée en pensée et se sert de différents styles et formes linguistiques en fonction du contenu émotionnel de l’histoire, nos artistes créeront une série de tableaux dont la “playlist” sera différente à chaque représentation. La présence de la voix et/ou de la langue fera partie de la chorégraphie et la danse traditionnelle s’invitera dans leur travail contemporain.

Le questionnement est riche: comment créer de la danse et de la musique basées sur de la littérature? Quelles sont la structure et la méthode nécessaires pour recréer ensemble une autre version du spectacle tous les jours? En jazz c’est une procédure standard, mais comment cela peut être réalisé dans une réalité multidisciplinaire? Comment le contexte réel de l’espace de jeu peut-il vraiment affecter les spectacles? Bienvenue dans leur laboratoire de recherches!

Greg Houben  « Un belge à Rio »

Greg Houben « Un belge à Rio »

C’est en bourlinguant à travers le monde que Greg Houben puise son inspiration et décide de s’emparer de la langue française pour l’habiller de ses mélodies fortes et sans frontières. Il enregistre son premier album de chanson à Copacabana ! Un disque délicieux, rempli de joie de vivre. Si l’on décèle chez Greg des fragments de Mathieu Boogaerts, de Louis Chedid ou encore de Chet Baker, on lui remarquera une tendre singularité et une manière élégante et chaloupée de raconter sa propre histoire.

Chansons rebelles et d’amour

Du jazz psychédélique pour rêver éveillés toutes oreilles dehors.

Animus Anima est un groupe de jazz contemporain aux nuances rock et progressi(v)(st)es, dont le leader et compositeur, Nicolas Ankoudinoff, est aussi auteur de chansons folk en français, sous l’appellation ANKsolo, chansons rebelles et d’amour. Le but poursuivi lors de cette résidence est la fusion des deux mondes.

Animus Anima a toujours exploré univers lyriques et poétiques. En témoignent leurs collaborations avec Paul Camus, Vincent Matyn ou encore Anja Kowalski pour dire ou chanter les mots de Pablo Neruda ou Noam Chomski lors d’aventures précédentes. En témoignent l’oratorio Larmes pour New York d’après Adonis et la chanson The Road to Freedom qui ouvre leur premier album micro-édité à compte d’auteurs. Un retour aux sources ou une nouvelle métamorphose?…

Une résidence pour créer de nouveaux tissus instrumentaux, dénicher d’autres perles, fomenter quelques résistances.

L’Histoire d’une longue journée

L’Histoire d’une longue journée

Un spectacle pétillant et poétique pour fêter Saint-Nicolas en famille.

Dans le plus beau des mondes, où tout est pour le mieux, Avi et Iva se préoccupent essentiellement de faire régner l’ordre établi pour que tout soit toujours aussi beau qu’hier. Il y fait beau et propre, tout est harmonieux, on s’y sent bien. Leurs journées sont rythmées par de doux rituels. Mais le jour où Plug arrive, leur vie confortable est soudainement perturbée. Difficile de changer ses habitudes et d’accueillir un nouveau venu, si différent…

Iva, Avi et Plug invitent les spectateurs chez eux, dans leur petit monde fleuri. Avec peu de mots, mais avec beaucoup de joie, tout en danse et en musique ils nous racontent L’Histoire d’une longue journée qui leur révélera la richesse du partage et de la reconnaissance de l’autre, tel qu’il est.