Présentation du spectacle
Spectacle à hauteur d’enfant qui interroge la vision de la famille et de ses différents modèles. Des vidéos documentaires se mêlent au jeu théâtral et gestuel afin de découvrir, à travers un gang de mômes rugissants, les méandres de la diversité, l’ouverture à la tolérance, la naissance de la résistance.
Suzanne, fan d'Al Pacino et des tigres de savanes, a une maman et une mamoune.
Suzanne a aussi une best friend forever, Alice, dont les parents sont divorcés.
Dans la cour de récré, elles partagent leurs rêves d'aventures et font des plans sur la comète.
Mais tout bascule le jour où on vole et déchire en mille morceaux le poème que Suzanne avait écrit pour ses deux mamans. Elle se lance alors dans une grande cyber-enquête qui deviendra le «Suzette Project».
Distribution
Soutiens
Écriture / Mise en scène: Laurane Pardoen
Avec Marine Bernard de Bayser, Ophélie Honoré, Nina Lombardo
Assistanat à la dramaturgie: Judith Bouchier-Végis
Assistanat: Isabella Locurcio et Vera Rozanova
Montage vidéo: Marie Gautraud
Costume: Bleuenn Brosolo
Scénographie: Zoé Tenret et Laurane Pardoen
Création sonore: Shuba
Création lumière: Jérôme Dejean
Régie générale: Fanny Boizard
Production Daddy Cie.
Soutien Théâtre le Boson | Théâtre Mercelis | Centre Culturel Wolubilis | Centre Culturel de Braine L’Alleud | Centre Culturel Bruegel | Centre Culturel Jacques Franck.
Aide Fédération Wallonie-Bruxelles.
Revue de presse
Revue de presse
Paroles d’enfants
«J’ai beaucoup aimé le spectacle, il y avait de l’humour, de l’amitié, de l’amour, de la jalousie et surtout la révolution! Ce que j’aime dans ton spectacle c’est qu’il y a de l’originalité dans le fait d’avoir deux mamans qui s’aiment.»
Aliane – 10 ans
«Pour moi, cette pièce est vraiment «intelligente» parce qu’on ressort avec un esprit plus ouvert, qu’on traite d’un sujet très important: les familles d’aujourd’hui. Je crois que chaque enfant (ou personne) pense vivre dans une famille «normale» et quand on va voir Suzette Project au théâtre, on voit et on entend qu’il y a beaucoup d’autres familles aussi «normales», mais juste différentes du classique d’autrefois. Ça fait du bien à tout le monde je crois.»
Isabelle D. – Professeure d’éducation civique