Présentation du spectacle
Dans ce 1er épisode d’une trilogie autofictionnelle, Riton nous parle de ses premiers pas, à treize ans, dans le monde sans pitié du cinéma. Un épisode de sa vie qu'il traite avec une autodérision aussi singulière que bruxelloise.
Après le succès de « Liebman Renégat » au Festival d’Avignon 2016, Riton nous raconte ses débuts triomphants au cinéma puis la jungle du « showbiz » avec toujours autant d’humour belge et d’autodérision !
1977, Riton a 13 ans. Au désespoir de sa mère, il est choisi pour tourner dans « Préparez vos mouchoirs » de Bertrand Blier avec Patrick Dewaere et Gérard Depardieu. La scène où il finit dans le lit de Carole Laure fera de lui la vedette du quartier. Fort de cette nouvelle notoriété, il quitte alors l’école à 16 ans et tente sa chance pour devenir acteur. Entre sorties et castings, c’est le Paris des années 80 qu’il découvre aux côtés des stars de l’époque. Mais le rêve initial a du mal à atteindre la réalité.
Avec « La Vedette du quartier », Riton nous offre autant l’histoire d’un mec qui se prend les pieds dans les portes du paradis, que celle d’un enfant perdu dans un monde de grands.
Distribution
Soutiens
Texte et interprétation : Riton Liebman
Collaboration artistique à la mise en scène : Jean-Michel Van den Eeyden, assisté de Yannick Duret et Aurélie Alessandroni
Lumières : Xavier Lauwers
Scénographie : Olivier Wiame
Création sonore : Vincent Cahay
Collaboration vidéo : Simon Delecosse
Coproduction : Le Théâtre de Poche (Bruxelles) et L'Ancre (Charleroi)
Revue de presse
Revue de presse
« Riton Liebman entame une trilogie sur l’histoire de sa vie. Vaniteux ? Pas du tout ! Celui qui a joué, à 14 ans, aux côtés de Depardieu, se met complètement à nu pour faire le bilan, à l’humour noir, d’un moineau piégé par les miroirs aux alouettes. Est-ce sa façon de raconter, l’autodérision vissée au corps? Est-ce le courage indéniable d’un homme qui met à nu ses contradictions, ses échecs, ses blessures? (…) Difficile de cerner ce qui nous aimante à cette Vedette du quartier. Seule certitude : on a déjà envie d’être au prochain épisode. C’est bon signe ! »
Catherine Makereel, Le Soir, 20 décembre 2016.
« L’autobiographie au théâtre est un exercice qui exige un sacré courage. (…) Rire de soi est difficile, faire rire les autres de soi est un art ! »
Éric Russon, Moustique, décembre 2016.